What happens
when Slayer and Testament are playing together in Spain? You get Bay Area Thrash
Metal from Western Europe under the name Violblast.
With the speed and intensity of Slayer and
the technicality of Testament a
blast from the past in the form of a nine songs platter under the title Conflict is the result. Does it has what
it takes to measure up to the two major bands cited?
Acheronte - Ancient Furies (2016, Satanath Records)
The number 7
is the key element of this new album by the Italians of Acheronte and their Black Metal that reminds of Bathory and their Under the Sign of the Black Mark era and Marduk’s Heaven Shall Burn
When We Are Gathered. Ancient Furies
is composed of seven songs, about seven monarchs for seven furies. In the vein
of the second wave of Black Metal and the spirit of De Mysteriis Dom Sathanas by Mayhem,
Acheronte are giving many glimpses
of well executed Black Metal.
For all I knew before listening to this near-masterpiece was that Vektor’s logo was very similar to Voïvod's, aka one of my favorite band of all-time. So with that out of the way, and the fact that both bands are playing progressive music with a background of space explorations in their imagery, I would stop the similarities between both bands. Even if Vektor has some kind of debt towards Voïvod, they pay them good for the inspiration but are apart from each other. Both being masters in their own subgenre.
Desaster – The Oath of an Iron Ritual (2016, Metal Blade Records)
German
black/thrash/speed attack of Desaster
are achieving with their eight studio album another tour-de-force that is to
take old-school metal and turn it unpredictable, intense, and outstanding.
Coming out of
Santiago, Chile the Death metallers of Sadism
are carrying the South American tradition of powerful Metal bands. They have
been at the forefront of the scene since the late 1980’s.
Death /
Thrash attack from Mortuary (France)
couldn’t be more on top than this. Founded in 1989 in Nancy, France, Mortuary
has been apart of the first wave of French Death metal bands alongside Loudblast, Massacra, and Agressor.
In the vein
of the Thrash metal revival of the five last years, Anticosm is a New Jersey band that likes to mix genres and use the
template of Black/Thrash metal. With melodic riffings and fast songs like the
opener ‘’Kill or Be Killed’’ they set a pace for fans of Destruction, Sodom, and
many other early German Thrash metal manifestations.
Music Review : Grave Forsaken – The Fight Goes On (2015, Soundmass)
Just like Iron Maiden and New Wave equal the 1980’s, thrash metal more often than not is the same case if not a nostalgia of a time or a form of music once iconic but now a shadow of itself. In fact, don’t even get me started about power metal. However, when I discover a band worth my notice I won’t stop at its genre or music boundary in any form.
Straight out of Poland, Neuronia have released their third full lenght record on December 14th and are preaching the Heavy/Thrash metal flag high and loud. In the vein of Trial or Trivium, Neuronia makes contemporary thrash metal of short songs and orthodox song structures for the genre.
In the recent
years many genres have stagnate and left fans biting again and again in their
old classics saying : they don’t make them like this anymore. Even the
greats like Iron
Maiden and Slayer have more
or less missed the mark this year.
Ce groupe de Metal
Thrash et Death a toujours reçu de bonnes critiques de la part de ses fans. Par
contre, ils ne m’ont jamais beaucoup impressionné et leur musique m’a toujours
laissé sur mon appétit. Koloss ne
démords pas de cette tendance et puisqu’il ne tombe pas dans mes goûts il sera
très dur d’en faire des écoutes multiples. Il faut cependant reconnaître le
talent de ces musiciens hors pairs et la qualité d’écriture musicale qu’ils
démontrent. Cela ressemble, pour les non-initiés à du PRIMUS sur une structure
Death/Thrash Metal.
Avec le retour en
force du Thrash Metal depuis quelques années, des groupes tel TESTAMENT,
ANTHRAX et KREATOR sont réapparus sur le radar avec de nouveaux albums
démontrant leur domination sur un style qui s’avérait relativement juvénile
pour des groupes commençant à prendre de l’âge. Cependant, ces légendes ont
facilement prouvé que l’âge ne changeait pas l’inspiration et l’essence pure du
genre.
Les deux plus récents
albums de KREATOR, Enemy of God et Hordes of Chaos se voulaient de
véritables monuments d’agressivité et de maîtrise. Le nouvel opus, Phantom Antichrist bien que prometteur
déçoit par l’homogénéité des chansons et le manque de montées et prouesses
techniques. Il semble que l’achèvement du quasi chef d’œuvre de Hordes of Chaos s’est essoufflé et que
KREATOR est tombé dans la facilité d’un album tombant rapidement dans le
remplissage et un flagrant manque d’originalité.
Toutefois, sans être un complet rebus, un album moyen de KREATOR est
tout de même un album qui s’écoute bien et qui sans se forcer on peut y revenir
de temps en temps. Souhaitons une meilleure inspiration à Mile Petrozza et sa
troupe pour leur prochain opus.
Le dernier album de ce groupe de Black Metal Norvègien se démarque par ses sonorités qui peuvent se rapprocher d'un autre groupe de la même nationalité: Khold. C'est-à-dire, ce que j'appele du Black 'n Roll. Soit un Black Metal plus lent que ce que nous offre les blast beats habituels et des riffs hyper rapides tels Immortal. Je me permet de citer ce band légendaire du BM car le chanteur et guitariste d'Aura Noir est un membre à part entière de la présente formation d'Immortal.
Hades Rise est assez différent de Deep Tracts of Hell sorti en 1999. De par ses sonorités plus "Rock" et par la différence de la production qui est mieux peaufinée sur la dernière offrande. Les puristes du BM seront probablement partagés à propos de Hades Rise surtout sur leur éloignement du BM traditionnel et leur rapprochement avec les influences évidentes de Motörhead, Venom et Bathory. Une approche plus Thrash se fait sentir sans toutefois perdre un vocal relativement "blackish" et "grim".
On ne pourra pas reprocher à Aura Noir de se répéter et de toujours offrir la même formule aux amateurs de Black. Cependant, une plus grande variété dans la composition des pièces aurait pu faire de cet album un excellent album. Il est tout de même un très bon disque de "char".
Après que les dieux du Thrash nous aient concocté un chef d'oeuvre de pure violence avec en 2005 Enemy of God ils nous retournent cette année avec un album, à mon avis encore plus satisfaisant avec Hordes of Chaos. Kreator c'est une bête intuable et indomptable d'intensité et de violence qui ne semble vouloir ralentir.
Ce nouvel opus, bien que moins accrocheur à la première écoute vis-à-vis de son prédessesseur est un album qui une fois sur la table d'écoute n'y ressort pas, et ce, pour plusieurs semaines. La qualité de la production est excellente et tous les instruments sortent comme une tonne de briques. Les descentes de batteries sont brillantes tant par leur aggressivité que leur prouesse. Tandis que la voix de Petrozza n'a pas perdu de tout son aplomb. Sans tomber dans le cri il sait doser la vitesse, l'intensité et l'aggressivité de ses textes. Les lignes de guitares et de basses n'ont rien perdu de la hargne légendaire qui caractérise Kreator. Cependant, au fil des albums les compositions se font plus mûres et encore plus maîtrisées.
Hordes of Chaos prouve que malgré le passage du temps et l'arrivée de nombreux jeunes groupes prometteurs et affamés, Kreator reste toujours au sommet du Thrash Metal!
Centrés sur un Metal inspiré des classiques du thrash, Blood Tsunami possède un edge Black surtout dans la voix et l'intensité des guitares. Ce deuxième opus cadre très bien dans la rennaissance du Thrash metal que l'on peut observer dans la scène Metal. Plusieurs bands des années 1980 se reforment, sortent de nouveaux albums et font des tournées de réunion. Cela cadre bien dans le retor vers les années 1980 que l'on peut observer un peu dans tous les tyles musicaux, la mode et l'esprit car les enfants de cette décennie, dont je fais partie, peuvent maintenant voir ces trucs comme de la nostalgie...
Les gars de Blood Tsunami sont probablement nostalgiques eux aussi de cette décennie. Cependant, au lieu d'essayer de copier et remâcher ce qui nous avait été offert voilà 25 à 30 ans Blood Tsunami avec son Grand Feast for Vultures démontrent qu'ils ont très bien assimiler les prouesses techniques des Iron Maiden, , Destruction et compagnie. Le son Thrash est à son meilleur et autant les guitares que la batterie sont exploitées au maximum. L'intensité des compositions ne laisse aucun moment de répit à l'auditeur qui ne se lasse jamais de la qualité des pièces de Grand Feast for Vultures. Sur sept morceaux, seulement une pièce a une durée inférieure à cinq minutes. Les deux derniers morceaux de cet opus durent respectivement douze et dix minutes et méritent d'être soulignés. Ils rappellent les montées et transitions progressives dignes de Seventh Son of A Seventh d'Iron Maiden notamment dans Horsehead Nebula.
Après quelques écoutes seulement Grand Feast for Vultures devient un album dont on ne pourrait se lasser. La formation Norvégienne Blood Tsunami serait un bon spectacle à nous proposer à l'Impérial de Québec pour être en mesure d'apprécier toutes les qualités techniques que ce groupe a à nous offrir...